De nombreux médecins avaient prédit qu’il restait moins de deux ans à vivre à Amir Hazan, âgé de 46 ans et père de deux enfants, suite à une cirrhose du foie qui s’était particulièrement dégradée.
« Les médecins m’avaient condamné à mort, me disant que j’avais besoin d’une greffe du foie urgente qui n’arriverait vraisemblablement pas à temps », explique Amir. « Mais pendant cette longue attente, ma famille a entendu parler du Service Hépatique de l’Hôpital Hadassah, dirigé par un ange, le Pr. Rifaat Safadi, et du Service de Transplantation dirigé par le Dr. Abed Khalaileh », poursuit-il.
« Amir souffrait d’une cirrhose avancée. Son foie était incapable de neutraliser les toxines telles que l’ammoniaque, ce qui le rendait confus et léthargique. Il a souffert de changements de comportement et de tremblements. Il n’était pour nous pas question de l’abandonner et au contraire, nous allions tout faire pour qu’il puisse bénéficier d’une greffe », précise le Pr. Safadi.
Quelques jours seulement après avoir bénéficié de cette greffe, Amir était rétabli et ne souffrait plus d’aucun symptôme. Il est aujourd’hui sorti de l’Hôpital.
« Hadassah a sauvé la vie de mon fils. Le professionnalisme de l’ensemble du personnel médical était tout simplement quelque chose que nous n’avions pas rencontré auparavant. Si nous avions écouté les médecins précédents, que nous avions consultés avant de venir à Hadassah, notre fils n’aurait pas survécu », conclut sa mère.